Victorine PERRON

Que de bons souvenirs de jeunesse chez "Papy et Mamie", les Noëls à Rueil, Pacques et les vacances d'été à Kerfago et aussi quand il venaient le temps d'un weekend à Orléans pour l'anniversaire de Stéphane et le mien. Et même si elle n'était pas notre "vraie" grand-mère au sens généalogique du terme, les liens que l'on avait tissés, d'affection, de bienveillance et de complicité, faisaient qu'elle était notre vraie Mamie. Et effectivement, les gnocchis ainsi que la polenta, qu'elle cuisinait si bien, me font, encore aujourd'hui, systématiquement penser à elle...
Bon courage à la famille Perron-Lafaille en ces moments douloureux.
Hervé.

J'ai cherché l'image qui traduit le mieux nos souvenirs. Ce n'est pas la plus nette, mais le bonheur respire !
Gérard

Bonjour,

Nous garderons le souvenir de nos échanges réguliers avec Madame Victorine Perron, toujours agréable, volontaire et battante.

C'était un plaisir de lui rendre service tant elle était
reconnaissante et savait apprécier chaque geste.

Nous la remercions pour sa confiance et sa fidélité à notre égard.

Très sincères condoléances à toute la famille Perron-Lafaille.

Bien amicalement.

Anne Marrakchi et toute l'équipe de la Pharmacie du Lauragais.

A une période de ma vie qui s'avance je ne peux qu'associer ma tante Corine (et oui...) à mon enfance, à ces dimanches dans l'Oise, à la jeunesse éternelle que je garde en souvenir d elle.
Si aujourd'hui j'ai conservé cette idée de l'effort, je le dois sûrement en grande partie à ce couple qu'elle formait avec mon oncle, à leur valeur travail. Meme si ce sont les moments de légèreté dont j'ai plutot été témoin durant les week-ends, c'était tres vivant je vous le garantie, les repères qui rythment aujourd'hui mon travail je lui en dois !
Elle avait toujours un regard bienveillant sur mon parcours professionnel en devenir, il y avait de quoi s'inquiéter d'ailleurs alors, mais son pragmatisme me revient avec quelques phrases pertinentes. Elle et mon oncle n'ont pas raté mes anniversaires, mes 20 ans notamment, ni même une visite à l'hôpital avec mon genou en compote suite à je ne sais plus quelle cascade ; elle était là, il était là au sortir du bureau.
La vie nous a éloigné mais le temps n'existe pas pour les souvenirs, et ma tante Corine m'en a laissé.
Toutes mes pensées vont évidemment à Hélène, ses enfants et proches.

Yves

Beaucoup de bons souvenirs.beaucoup de tristesse.bises a toi et toute ta petite famille

Maman adorait les fleurs. Son jardin breton était sa joie et sa passion même si parfois la terre était basse (selon ses mots)
Ses petits enfants ont été choyés, adorés , avec de nombreux moments de partage. Ils étaient sa fierté.
Elle aimait marcher et faire du lèche vitrine dans Paris sa ville pendant plus de 60 ans et New York qu'elle avait découvert lors de 2 voyages avec nous.
Ses lieux de vie étaient ses nids douillets qu'elle affectionnait particulièrement
sa vie avec Papa a été en harmonie. "ti amo" et "Jacky" s'étaient bien trouvés et ils ont été des parents plein d'amour pour moi
son métier de comptable elle l'aimait. Chaque centime manquant faisait l'objet d'une recherche assidue
Sa générosité faisait que tout moment important dans la vie des siens faisait l'objet d'attention particulière.
Certes le caractère n'était pas toujours facile mais c'est cela aussi "en avoir" (du caractère)
sa spécialité culinaire : les gnochis pomme de terre que toute la famille dévorait. On essaye de la copier mais c'est difficile
son gendre Jean Yves "taquin" très souvent la surprenait et parfois l'énervait mais au fond ils s'appréciaient bien. Elle aimait passer au cabinet médical pour dire "coucou"
elle aimait partager des moments avec ses amis de St Gildas, ses voisins à Rueil, mes différents amis, la famille, et discuter avec les commerçants au marché ou à Castanet.
les bons gâteaux, les bons repas, le champagne, le rosé, étaient appréciés, et surtout ma cuisine disait elle. Tu aimais Noel grand moment de partage en famille.
Voilà quelques lignes, Maman, tu viens de partir et tu me manques tant déjà. Comme on se disait presque tous les jours : BISOUS!