Roselyne, te voilà partie dans un autre firmament que celui qui nous a vu nous rencontrer, sous le ciel polynésien, ses plages, son lagon peuplé de poissons si difficiles à quitter. Roselyne, ma voisine et "copine", aimante et si généreuse... autant qu'en profonde souffrance dans ton âme et ton corps, femme entière et sincère, tu nous as comblés de tes attentions, ton accueil dans ta grande maison prêtée ou partagée, de ta présence et de tes photos sous l'eau qui ne manquaient pas aussi de "nous croquer" parfois au sortir du lagon. J'écris ces lignes pour intégrer que tu n'es plus que dans nos coeurs aujourd'hui, que cette Terre n'abrite plus que ton empreinte. Merci d'avoir occupé cet espace de tout ton être. Je t'envoie un de tes "bisous jaunes". Belle traversée vers cet ailleurs qui nous attend tous.