Farida SARDA

Faire-part et remerciements
A mémoire de Farida

Nous tenons à remercier toutes les personnes qui ont pris le temps de lire, de comprendre ou simplement de penser à Farida.

Ces derniers jours ont ravivé beaucoup d’émotions, mais aussi la force du souvenir.

Merci à ceux qui ont permis que sa mémoire soit honorée avec respect, et à ceux qui, par un mot ou un silence bienveillant, ont contribué à apaiser ce long chemin.

Pour notre part, nous garderons de Farida l’image d’une sœur ,d'une fille,d'une cousine ,d'une nièce aimante, confidente et lumineuse.
Nous rendons hommage à Farida, tout en remerciant ceux qui ont croisé sa route.

Nous sommes une grande famille, dispersée mais unie aujourd’hui par le souvenir.

À Toulouse, où elle a vécu ses dernières années.
À Mulhouse, où reposent ses souvenirs d’amitiés et d’enfance.
À El Oued, au cœur du Souf, sa terre d’origine, riche de nos racines et de notre histoire.
À Annaba, au lycée Pierre et Marie Curie, où beaucoup se souviennent encore de son sourire et de sa présence lumineuse.
A Ben-m'hidi au domicile familial de ses parents
Nous voulons simplement dire merci —
à tous ceux qui ont partagé un moment de sa vie, une amitié, un éclat de rire, ou un souvenir.

Merci à ceux qui, depuis ces quatre coins, ont pensé à elle, ont prié pour elle, ou ont gardé sa mémoire vivante.

Farida restera pour nous tous une sœur, une amie, une confidente, une femme de cœur.

Sa famille, ses proches et tous ceux qui l’ont aimée
vous remercient du fond du cœur pour vos pensées, vos messages, et votre bienveillance.

la famille Dhif

Bonjour Jean-Paul,

Je me permets de t’écrire personnellement, via ce site, par respect pour la mémoire de ma sœur Farida.

Farida était bien plus qu’une sœur — ainée de seulement deux ans, elle était ma confidente, ma complice, mon repère. Le silence autour d’elle pèse lourd.

Cela fait plus de quarante ans que ma sœur a disparu, et que nos chemins se sont croisés. Aujourd’hui, après avoir appris son décès pour la seconde fois, je me retrouve confronté à une situation où ton silence bloque toute démarche légitime pour comprendre la vie passée de Farida.

Tu as pris ma place, Jean-Paul. Je suis Hamid, et si tu ne me repères pas, te souviens-tu de la Escort XR3 rouge ?

Je t’écris dans un esprit d’apaisement et de clarté, sans aucune intention de conflit ni de pression. Mon seul souhait est que les droits de chacun soient respectés et que la mémoire de ma sœur Farida soit honorée avec dignité et transparence.

Je te serais reconnaissant, toi ou vos enfants Vivien, Laureen et Grégory, de bien vouloir me répondre — ne serait-ce que pour convenir d’un contact ou d’une voie neutre de communication.

Si j’envoie ce message aujourd’hui, c’est parce qu’hier, nous avons dû annoncer le décès de Farida à sa maman malade. C’était un devoir nécessaire.
Suite à cette réunion, nos enfants ont appris qu’ils avaient trois cousins inconnus — un moment bouleversant pour tous.

Si je prends la peine de te contacter aujourd’hui, c’est simplement parce que je ne comprends pas ton silence, après les rares moments que nous avons partagés.

Farida a fait partie de nos vies, et je souhaite juste un échange sincère et respectueux, sans rancune ni arrière-pensée.

Si ton silence est volontaire, j’aimerais en connaître la raison.
Si c’est autre chose — le temps, la douleur, ou la peur de mal dire — alors parlons-en calmement.

Je crois qu’on se doit au moins un mot de vérité, après tant d’années.

— Hamid

Je présente mes condoléances à sa famille. Madame Sarda était une de mes cadre durant un de mes stage. Une femme avec une force de caractère incroyable. Elle était juste, bienveillante. Je souhaite qu’elle repose en paix. La dernière image que j’ai d’elle c’est ses nombreux stylo dans la poche, et le gâteau au chocolat qu’elle a fait de ses mains pour une de ses infirmière dont c’était l’anniversaire.
Reposez en paix madame.

Bonjour Jean-Paul.
C'est avec un grande tristesse que nous avons appris le décès de Farida. Nous pensons à vous, toi, vos enfants, et elle qui nous a quittés, et à tous ces moments de joie et d'amitié que nous avons passés ensemble. Nous vous embrassons très fort, toi et tes enfants.
Vos amis. Patricia et Jean-claude