Henri Siméon LAZZARELLI

Il y a quelques jours, en ce début d'année qui démarre sans toi, Annie et Emile que tu connaissais depuis très longtemps, que tu appréciais et qui me sont chers, m'ont dit que ces fêtes de fin d'année ont dû être tristes en ton absence.
Cependant, ils m'ont dit aussi qu'il ne faut pas être triste, ils m'ont dit aussi que tu n'aurais pas voulu que je le sois et ils m'ont dit aussi que je le savais très bien.

Oui, je sais qu'ils ont raison parce que tu étais tellement joyeux et je garderai de toi le souvenir d'un papa généreux et rieur, parce que c'est toi qui m'as donné ce prénom à ma naissance, "Laetitia", ce prénom qui veut dire "joie" en latin et auquel je veux faire honneur.

Je me souviens alors de nos derniers échanges pendant lesquels tu m'as encore dit de profiter de la vie, que c'est ce que tu as fait et ainsi tu m'as dit : "tout ce qui est pris n'est plus à prendre".

Je t'aimerai toujours et je sais qu'avec Maeva, nous allons retenir de toi tout cela. Nous serons joyeuses, généreuses, fortes, courageuses et nous profiterons de chaque instant.

Laetitia

Mon Tonton Riri,

Ça y est, cela fait 1 mois que tu es parti.
1 mois entier passé à me remémorer chaque jour ces souvenirs si chers à mon cœur maintenant.

Mon chagrin est immense.

Notre douloureux chemin sera long.
Nous le savons.
Ne t’inquiètes pas, sois tranquille.
Nous nous sommes occupé de tout.

En plus de t’avoir chaque jour dans nos cœurs et nos mémoires, tu es un peu chez chacun de nous désormais.

Saches que je veillerai autant que faire se peut sur ma sœur, ma cousine que j’aime tant, ta fille, et que ton souvenir perdurera jusqu’à la fin de nos jours.

Jamais nous ne t’oublierons,

Jamais je ne t’oublierais mon Tonton Riri,

Je t’aime pour l’éternité,

Clém

Tu me manques tellement...

Mon ptit papa, presque un mois que tu nous a quitté, un mois sans entendre ta voix, sans ton odeur, sans tes câlins, tes bisous... Mon confident je ne t'ai plus auprès de moi pour que l'on ce raconte nos petites histoires, nos petits secrets, toutes ces choses que tu aurais pu m'apprendre encore... Mon cœur est déchiré, il n'y a pas une seconde sans que je pense à toi.. Tu me manques terriblement papa, je t'aime et t'aimerais toujours 💙

Je ne t'ai pas entendu aujourd'hui me dire bon anniversaire "bella".
C'est pas normal t'as pas été cool avec Maeva. Je t'ai tjrs cru qd tu disais que tu étais un hilhander. Je ne t'en veux pas mais un peu quand même. Tu nous laisses sans force ni voix. On ira ensemble avec tes filles pour que tu retrouves l''élément que tu préférais "l'océan ". Je ne sais plus quoi dire je suis très triste. Allez confidence pour confidence je t'aimerais jusqu'à la fin de ma vie. Courage les filles de cet homme extraordinaire, c'est votre papa et vous devez être forte pour la suite de votre vie.

Cela fait déjà quatre jours que je t’ai dit adieu avec toutes ces photos de toi qui ont défilé devant nos yeux et ces morceaux de musique que tu aimais, qui te ressemblaient tant et qui nous ont remplis d’émotion. « Ta cérémonie » était magnifique.

Je tiens à dire combien je suis fière d’être la fille d’un homme qui a aimé le sport comme tu l’as aimé, avec ses valeurs que tu m’as transmises, qui nous permettent de nous forger un mental et qui nous aident à traverser les épreuves de la vie.

Il y avait « tes sports » comme la natation et le water polo mais aussi tant d’autres, dans lesquels tu étais très doué et qui te passionnaient, tels que le surf avant tout, la planche à voile, le tennis, le rugby ... Je me rappelle ces moments de mon enfance où tu m’apprenais à faire du roller et je te regardais en faire devant moi avec une telle facilité. Tu avais cet équilibre et ce sens de la glisse qui t’ont permis de te lancer sur les pistes enneigées, en ski de fond ou en snowboard (je fais ici un clin d’oeil à mon cousin Pascal, ton neveu), lors de nos vacances à la montagne où j’apprenais à skier. Et pourtant, la neige et le froid n’étaient pas tes éléments, toi qui étais si « aquatique ».

Je voudrais dire aussi que tes petites-filles, Lise et Clémence (Clémence que tu surnommais « le ouistiti des îles ») me parlent beaucoup de toi, en particulier Lise, l’aînée, également passionnée par l’océan et les chevaux.

Je pense à toi, je souris et je me rappelle comment David parlait de toi en disant que tu étais peut-être un « highlander ». Il voulait dire par là un « immortel » … Aujourd’hui, nous tous, avons du mal à croire que tu es parti.

Nani, ta sœur, ma marraine, m’a encore dit, il y a quelques jours, combien tu nous aimais. Je lui ai dit que je le savais bien, tu nous le disais très souvent. Je t’aime aussi Papa, adieu, je suis sûre que tu es bien là où tu es maintenant.

🖤Adieu mon Tonton Riri🖤

Nos pensées vont vers tes filles comme beaucoup tu as appris à nager à nos enfants tu me guidais quand j'y allais seule et qu'ils étaient petits "tu la sors elle a froid quelle mange un bout rechauffe la et tu peux y retourner" merci Henri pour ta gentillesse.

Tonton Riri,

T’aimais tellement la vie, que je n’arrive pas encore à croire  que tu te sois laissé séduire  par les bras décharnés de la camarde.

Facétieux et provocateur, au cours de ton chemin, t’avais flirté avec elle, mais très vite,  l’épicurien l’avais congédié ……………..

Ta vie de noceur reprenait son cours intensément, passionnément, éperdument. L’insouciance de ces années légères et joyeuses m’a fait oublier que derrière le noceur, il y avait une « vieux sage » qui sommeillait. Lui, savait qu’un jour la rencontre serai inéluctable….Tu l’avais accepté.

Tes yeux « bleu acier » voyaient au-delà du visible, ton « instinct »  ne te trompait jamais…..Tu savais bien avant tout le monde ce qui se préparait.

La LIBERTE, c’était ton ADN

Libre, tu as vécu, Libre tu es parti

Gratitude et Respect Henri, mon ami.

Laetitia et Maeva je vous embrasse affectueusement.
Embrassasade du coeur à tous ceux et toutes celles qui ont la chance de faire un bout de chemin auprès de lui.

Bon vent l'ami

Clotilde

Henri , nous avons eu la chance de traverser ta route , nous avons partagé des moments sincères et conviviaux comme tu les aimés ,nous aurions tellement aimé t’accueillir dans les landes , tu aurais été fier de nous les faire découvrir,nous sommes tristes sincèrement triste nous transmettons nos condoléances à toute ta famille Michaud Olivier Anais Kelly et Mathis